▬ TON PERSONNAGE ÉTAIT-IL PRÉSENT LORS DE LA CATASTROPHE DU PREMIER PARC, ET/OU DE L’ÉCHEC DE LA RECONSTRUCTION:

Oui et pas qu’un peu ! C’est Owen qui a sauvé le cul des neveux de Claire (et celui de Claire aussi) pendant la catastrophe. Et pour l’échec de la reconstruction, il était là aussi. Parce que ce parc et les dinosaures sont aussi importants que ses sentiments pour Claire. C’est viscérale, ça pulse dans ses veines et les deux l’attire comme des mouches sur un papier collant.

▬ COMMENT A-T-IL RÉAGI QUAND IL A PRIS CONNAISSANCE DE LA DPG? POURQUOI A-T-IL DÉCIDÉ D'EN FAIRE PARTIE?:

Il a trouvé que c’était une super idée et c’est rassuré de savoir qu’enfin le sort des dinosaures n’allait plus être un sujet de discorde au sein de son couple avec Claire. Il n’était déjà pas en accords avec InGen dans sa tentative de militariser les vélociraptors. Et même si ce parc à sûrement mieux payer que lorsqu’il était dans l’US Navy, il n’a jamais était pour l’utilisation des animaux à des fins commerciales. Il donne tout son soutien et toute son aide à sa petite amie, dans ce projet !

▬ A-T-IL PEUR DE SE RETROUVER COUPÉ DU MONDE DANS DES CONDITIONS DE VIE PLUTÔT RUSTIQUES?:

Owen a toujours été un solitaire, un ermite avec un mode de vie différent. Même sur le parc, il vivait dans un bungalow à la périphérie du parc. Et même lorsqu’il est retourné sur le continent, il n’avait qu’une envie, vivre à l’écart des grandes villes, entourer de grandes étendues d’herbes. Seulement Claire n’a jamais eu l’âme d’une campagnarde… Bien que cette nouvelle expérience l'a changé. Et il aime de plus en plus cette femme qu'elle est en train de devenir.

Comment avez-vous réagi la première fois que vous avez vu un dinosaure ? Owen n’avait qu’une dizaine d’années lorsqu’il a vu pour la première fois un dinosaure. Pas Vivant, bien évidemment. La science n’était pas suffisamment développée encore pour l’époque. Et il était loin d’imaginer qu’un jour le clonage pourrait exister ! Le dino, il est tombé dedans avant même de savoir marcher. Pas difficile lorsque vous êtes le fruit d’un amour entre deux paléontologues. Le sable était son premier terrain de jeux. Ses premiers pas furent sur un site de fouilles. La vie de nomade, il n’a toujours connu que cela, bougeant à chaque nouveau site à déterrer lorsque l’on avait besoin des talents de ses parents. Toutefois, malgré la passion de ses parents. Owen n’a pas eu le déclic tout de suite. Il a fallu attendre sa dixième année. Un jour qui avait pourtant commencé comme les autres et qui pourtant, à bouleversé sa vision des choses. Et il se souviendra à jamais de cet homme, qu’il admire encore aujourd’hui, cet homme sans qui sa vie ne deviendrait jamais ce qu’elle allait devenir. Parce qu’il ne le savait pas encore, mais ce jour-là, sur ce site de fouilles, c’est bien le célèbre Alan Grant qu’il a rencontré. Cet homme qui en quelques mots a réussi à la fois à l’impressionner et lui donner ses plus grosses terreurs nocturnes. « Ça n’a pas l’air très effrayant, c’est juste, comme une grosse dinde ! » Il a évidemment longtemps regretté d’avoir prononcé ses mots. Lui, le Owen de dix ans, mal dans sa peau parce qu’il était plus gros que la moyenne pour son âge. Qu’il n’arrivait pas à se faire d’amis à la fois parce qu’il était en perpétuel mouvement et souvent les gamins se moquait de lui à cause de son poids. Il a voulu faire son intéressant ce jour-là, le professeur Grant lui a donné une superbe et respectueuse leçon d’humilité.

Il n’était pas né pour cela. Et pourtant, c’est bien là qu’il avait fini plutôt que dans les sols graveleux des sites archéologiques. Il avait besoin de se heurter à la dureté des entraînements des SEALs pour grandir. Parce que sa vie de SEALs a fait partie du plus grand apprentissage auquel il a dû faire face. Il n’était encore qu’un jeune trou du cul lorsqu’il a passé les tests dans l’espoir d’intégrer l’U.S Navy. Dix-huit ans à peine. Pas encore majeur dans son pays et pourtant, il n’avait pas besoin d’autorisation parentale pour s’engager dans l’espoir de donner sa vie pour son pays. Ça n’était pourtant pas une passion. Juste un besoin qu’il a ressenti en se levant un matin. Lasse de cette vie qu’il avait. Lasse de ne pas savoir quoi en faire. Et il ne voulait pas atteindre trente ans et faire un métier qui ne le passionnait pas du tout ! Trente-six mois, c’est le temps qu’il lui a fallu avant de pouvoir officiellement et fièrement, porter l’insigne de l’unité des Navy SEAL. Trois années pour devenir une machine de guerre totalement dévouée pour son pays. Un enseignement qui lui a donné des valeurs, soutenus d’autres. Qui lui a également fait tirer un trait sur le gamin rondouillard et en manque de confiance qu’il avait pu être. Il était un autre homme. Et il aimait ce qu’il était devenu. C’est donc à l’âge de la majorité qu’il est officiellement entré dans la vie active et qu’il a pu être assigné à son unité. À vingt-et-un ans, il était SEAL, il vivait toujours une vie de nomade au grès des déploiements qu’on lui demandait d’effectuer. Déploiements qui furent pourtant de courtes durées puisqu’il se spécialisait rapidement dans le dressage des chiens pour l’armée. Parce qu’il n’avait jamais oublié sa passion pour les animaux qui l’avait animé gamin. Et c’est cette passion et les connaissances qu’il avait acquis plus jeune qui l’avait démarqué du lot, le propulsant rapidement au sommet. Faisant de son nom un incontournable dans l’armée. Si quelqu’un avait un souci avec un chien ou un autre animal (dont il ne peut pas parler même encore aujourd’hui parce qu’il est tenu au secret par l’état.) on faisait appel à lui. C’est de cette façon qu’il a commencé à parcourir les États-Unis, encrant en lui, encore plus, cette vie de nomade qu’il aime tant. Même si les dinosaures sont loin de son travail actuel, il profite de ses voyages pour continuer de se documenter sur les dinosaures, réussissant même à reprendre contact avec Alan Grant par le biais de ses parents, pour poursuivre son apprentissage à son contact, se nourrissant des théories du paléontologue et de la pratique. Parce que oui, les dinosaures n’étaient plus qu’une simple théorie ! Ils étaient de nouveau des êtres faits de chairs et de sang. Il ne cesse d’en apprendre au fur et à mesure de son travail, mais aussi de son apprentissage pendant son temps libre, c’est ainsi que l’U.S. Navy en eu finalement vent. C’est ainsi qu’en 2012, il reçoit une proposition pour être recruté dans la division sécurité d’InGen pour travailler sur le projet IBRIS, chargé d’étudier le comportement et l’intelligence de Vélociraptors. Il accepte le poste.

Vous souvenez vous de la première fois ou vous avez vu un dinosaure ? De ce que vous avez ressentit ? Owen oui. S’il se souviendra toujours de la première fois où il a vu les ossements d’un vélociraptor. Il se souvient parfaitement du jour où il a vu éclore des œufs de cette même espèce. Il se souvient parfaitement du premier crie que chacun des raptors à pousser pour la première fois. Il ne pourra jamais décrire parfaitement ce qu’il a pu ressentir, ce mélange d’excitation mélangé à de la peur, mais aussi a un tas d’autres émotions. Mais une fois l’excitation d’enfant passé, il a commencé son travail avec eux. Parce qu’il était embauché pour une raison et il allait devoir fournir des résultats. C’est à partir de ce moment-là que sa vie a commencé à tourner autour des raptors. Bien qu’une en particulier se démarquait du groupe. Blue. Elle a été créée avec l'ADN d'un varan des steppes d'Afrique, ce qui lui a donné une couleur bleue, lui donnant le motif distinctif pour lui donner son nom. Elle était ainsi la seule du groupe de cette couleur et très vite, il s’est lié à elle d’une façon toute particulière. Parce qu’il s’est vite rendu compte qu’elle était doté de sentiment, elle exprimait par exempte la compassion. Malheureusement les trois autres vélociraptors crées en même temps que Blue n’ont pas survécu. Ce qui a permis à Owen de travailler avec elle avec plus de facilité, renforçant encore plus le lien qui s’était déjà crée. Bien décidé à créer un clan de raptors InGen créa d’autre raptors, nommé Delta, Echo et Charlie. Les raptors possèdent l'ADN de plusieurs animaux dans leurs gènes. Si Blue avait l’ADN d’un varan, Charlie avait celui d'un grand iguane vert, Delta, celui d'aviaire, ce qui la fait vraiment ressembler à un oiseau. Si Owen les a élevés, c’est sans oublier Barry qui a eu un rôle capital auprès d’Owen. C’est Barry qui s’est occupé d’elles. Formant ainsi un binôme avec Owen qui a leur grande surprise fonctionnait à merveille. À tel point qu’ils en sont devenus meilleurs amis. Owen ne pouvait pas faire son travail correctement sans Barry et inversement et ensemble, main dans la main, ils en sont arrivés à apprendre plus de quarante ordres aux quatre vélociraptors. Durant sa vie aux côtés des raptors, Owen a appris sur eux qu’ils vivent en meute, à la façon des loups, à l’aide d’une hiérarchie et c’était pour lui un travaille constant ue de rester l’Alpha du groupe, afin de s’assurer le plus possible, qu’elles lui obéissent. Même si elles étaient des animaux sauvages, il ne l’oubliait jamais et savait qu’au moindre faux pas, tout pouvait voler en éclats. Une erreur qui pourrait un jour lui devenir fatale.

C’est peut de temps après son embauche sur Jurassic Wolrd qu’Owen est amené à rencontre Claire sur le parc. Le moins, que l’on puisse dire, c’est qu’elle lui plaît dès le premier regard. Surtout par cette chevelure rousse qu’elle porte et surtout assume d’une façon qui plaît à l’ancien Navy. Il doit bien reconnaître que son intellect, mais aussi l’assurance qu’elle dégage l’attire tout autant. Et c’est de cette façon qu’au bout de plusieurs mois, après avoir pesé le pour et le contre. Qu’il finit par l’inviter. Parce que les relations au travail, surtout sur une île, il n’est pas sûr que ce soit très judicieux. Seulement celui-ci ne se passa pas aussi bien qu’il se l’était imaginé. La rencontre tournant rapidement au vinaigre sous les piques de la jolie rousse à cause du bermuda qu’il portait (après tout, il fait chaud sur l’île.. ) mais c’est à ce moment-là qu’il découvrit le besoin de contrôle de la jeune femme au point de prévoir une liste pour le déroulement de ce premier rendez-vous. Ne laissant ainsi aucune place à la spontanéité de leurs sentiments ou impressions. Tout se stoppa instantanément au point qu’il remarqua rapidement que la jeune femme l’évitait au maximum. Seulement, ils étaient malgré tout amener à être en lien de part leur travaille, et il ne manquait jamais une occasion pour la taquiner, parce qu’il aimait ça le Grady. Voir la tête qu’elle finassait toujours par avoir lorsqu’il venait la titiller. Le premier véritable contact qu’ils avaient eu depuis leur fameux rendez-vous, c’est lorsque Claire était venue le chercher à sa caravane pour avoir son avis sur le nouveau spécimen du parc qu’ils voulaient enfin faire découvrir au public. Seulement, il avait désapprouvé sans même l’avoir réellement vu, mais il était définitivement et totalement contre à l’instant où il avait dû se camoufler avec de l’essence du carnivore qui avait fait preuve d’une (trop) grande intelligence en leur faisant croire qu’il s’était échappé de son enclos. C’est donc en 2015 que le parc sombra à cause d’une manipulation génétique nommé l’Indominus Rex. Owen fit tout ce qu’il lui était possible pour minimiser les dégâts tout en répondant à l’appel de Claire pour qu’il sauve ses deux neveux. Ce fut l’un des instants les plus dur de sa vie, devoir géré une catastrophe pareille, il y était entraîné, mais ne l’avait encore jamais vécu. Une chance qu’il arrivait à garder son sang-froid. Une chance qui une fois l’épisode clos, il avait peut-être perdu son travail et le parc, mais il y avait trouvé l’amour.

Pendant la catastrophe Hoskins, profite du remues ménage général pour mettre ne place contre quoi Owen et Barry sont contre ! Pour lui les raptors ne sont pas prêt pour obéir au doigt et à l’œil des humains, et même s’il est leur alpha, il sait qu’il peut perdre leur confiance avec un simple grain de sable dans l’engrenage. C’est d’ailleurs le cas, contre sa volonté puisque Hoskins décide quand même de les utiliser contre l’Indominus Rex, et même si cela a donner l’un des meilleurs moments de sa vie à Owen, puisqu’il a pu parcourir la jungle sur le dos de sa moto en tête du clan de ses raptors. Seulement tout dégénère assez rapidement et Owen comprend rapidement qu’il y a du sang de raptors dans les veines de la bête qu’ils pourchassent, l’allégeance de Blue change alors et elle se retourne contre les humains, s’en prenant également à Barry présent sur place. Il garde malgré tout l’espoir que le lien ne soit pas brisé au moment où il prononce son nom, stoppant l’action de l’animal instantanément. C’est le cœur lourd qu’il constate que dans cette catastrophe, Blue perd les 3 autres membres de sa meute, la laissant ainsi seule survivante de son espèce. Comme si devoir quitter l’île sans elle n’avait pas était suffisamment pénible pour lui. Il partait avec une grande inquiétude pour elle. Allait-elle réussir à survivre seule ? Pourtant, il n’a d’autre choix que de la laisser derrière lui. C’est ainsi qu’il retourne à une vie loin des dinosaures, aux côtés de Claire.

Il retournera pourtant sur l’île, pas en même temps que Claire, puisqu’il était contre. Même si elle était dans un coin de sa tête. Blue, il était rongé de savoir si elle était encore vivante. Il savait que de toute façon la Masrani Corp serait incapable de la rattraper sans lui, surtout sans utiliser la violence et des tranquillisants. Il s’inquiète aussi pour Claire, qu’il sait sur l’île sans sa protection à lui. Parce que s’il a bien appris une chose durant la catastrophe avec l’Indominus, c’est qu’il est le mieux placer pour protéger la vie de Claire et qu’il n’a confiance qu’en lui pour lui sauver les miches ! C’est donc après plusieurs mois qu’il rejoint Claire sur le projet de reconstruction du parc. Bien qu’il n’y va pas pour reprendre leur histoire là où Claire là laisser en partant du jour au lendemain en lui laissant un simple mot sur la table. Mais il est lié à elle et il se sent le besoin d’être prêt d’elle au cas où une nouvelle tragédie arriverait. Tout comme il a ce besoin de voir à nouveau Blue.

Il se passe six mois avant que Claire et Owen ne soit amené à devoir passer du temps ensemble. Bien que pour le travail. Il n’arrive pas à lui pardonner cet abandon alors qu’ils étaient très bien ensemble. Il se sent, trahit, a ses yeux Claire est incapable de lui faire confiance et il s’en retrouve blessé dans son ego. Il tient tout de même à elle, sinon il ne serait pas sur cette île. Et c’est pour cette raison que ce jour-là où il a vu la terre engloutir le corps de Claire, il a eu pour la seconde fois, la plus grande peur de sa vie ! Il n’a pas réfléchi plus d’une seconde avant de se lancer à son tour derrière la jolie rousse pour tenter de la sortir de là. Il ne lui adressa pourtant aucun mot, restant égale à lui-même. Parce qu’il n’ouvrait pas facilement sa carapace aux gens le Grady. Et Claire lui avait planté un couteau dans le dos le jour où elle était partie. Il la porte jusqu’au parc et la laisse à l’infirmerie le même jour. Il faudra attendre le rétablissement de la jeune femme pour qu’elle provoque une entrevue entre eux dans la chambre d’Owen. Il la poussera à bois qu’elle lui avoue enfin tout ce qu’elle ne lui dit pas, et qu’il a besoin d’entendre. De cette dispute, ils en sortent plus proche, plus solide. Enfin réconcilier et apaisé. Plus que jamais ils forment un couple qui fait bloc dans un seul sens contre la Masrani Corp. Lorsque Clair est renvoyé, Owen pose sa démission, et juste avant son départ, il s’assure de libérer Blue de leur main. Il sait qu’elle s’en sortira bien mieux seule qu’avec eux. Il ne leur fait donc pas ce cadeau et espère qu’elle arrivera à ne pas se faire attraper a nouveau. Il lui fait alors la promesse, qu’un jour, il reviendra la chercher.

Dès l’instant ou Claire, lui parle de la DPG, Owen la soutient. Il l’aide même ! Tout en restant en retrait, parce qu’il n’a jamais été un homme de médiatisation. Il est l’homme de l’ombre. Celui toujours présent et actif, mais il n’aime pas mettre son visage sur les autres et encore moins au grand public comme il va falloir le faire pour promouvoir et voir grandir la PDG. Il laisse tout cela à sa bien-aimée. Il suit Claire ou il le peut, tout en allant de son côte pour retrouver de vieilles connaissances et ainsi, tenter de les rallier à leur cause. Il y avoir, parfois avec mal, mais il finit toujours par trouver les mots justes. Il soutient également Claire en lui laissant une partie de l’argent qu’il avait économisé depuis des années, pour réaliser son rêve de construire un jour son foyer. Une maison qu’il aurait bâtie de ses propres mains où il aurait vu grandir ses enfants. Le rêve ne s’envole pas totalement pour autant, mais il sait qu’avec le style de vie qu’ils ont choisi, Claire et lui ne seront jamais comme tous les couples normaux. Pas lorsque les dinosaures planent au-dessus d’eux. Parce qu’il est loin d’être bête et il est parfaitement conscient que vie de famille et dinosaures ne fait pas bon ménage. Claire étant partie une fois déjà, il doute qu’elle abandonne cette cause un jour. Et très franchement, il ne le voudrait pas. Parce qu’avec le temps, elle s’est révélé être une autre femme. Et il aime d’un amour fou celle qu’elle est devenue, ou redevenue comme elle aime à dire. Bien qu’il n’a jamais connu la Claire d’avant Jurassic Wolrd. Le jour où la décision d’aller sur Isla Sorna pour y construire une réserve pour les dinosaures, il était partant plutôt deux fois qu’une. C’est finalement la vie qu’il avait toujours voulue. Vivre simplement, de façon minimaliste et écologique. Faire le moins d’impact possible de son passage sur la planète. Construire la réserve avait était éprouvant pour lui, mais c’est encore ce qu’il aimait le plus. Parce qu’il avait toujours voulu bâtir de ses mains. Tout en apportant son savoir et son expérience pour la sécurité de tous. Il espérait simplement, que cette fois, il y aurait un happy end. Mais avant de quitter le continent et dans le plus grand secret, il était allé acheter une bague pour Claire, parce qu'il se sentait enfin prêt à lui demander sa main. Il ne lui manquait plus qu'à en trouver le temps !

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